LA FRONTIERE
On veut le mieux pour eux, prete à se sacrifier et en oublier sa vie de femme.
On reste dans une region ou l'amour manque, et le poignard dans le coeur on avance à petits pas, on boite un peu mais ils ne le voient pas, trop preoccupés par leur confort de vie et l'assurance de voir leur père 2 fois par mois, un père absent mais qui donne l'illusion d'un plein pouvoir.
On ferme les yeux sur leurs reflexions egoistes, parce que les petits gestes d'amour sont plus important et effacent la deception.
Je sais que vous m'aimez, je sais aussi que les contraintes que je cache sous des airs de normalité ne vous effleurent meme pas.
Mais là, mes peitits, il est temps de grandir.
La naissance est injuste, alors pour vous qui etes du bon coté de la barriere, une image d'enfants qui n'ont rien:
En Angola, le week end sur deux n'existe pas...
Par contre, un bol de riz sur deux sauve des vies.